Archive for the Que lire ? Category

François Duprat, l’homme qui inventa le Front national

Posted in Que lire ? with tags , , , , , , , on février 15, 2012 by TP Provence

Vient de paraître aux éditions Denoël, « François Duprat, l’homme qui inventa le Front national »

Le retour des gueux, le réveil des lions

Posted in Que lire ?, Terre & Peuple with tags , , on août 30, 2011 by TP Provence

Ce livre est en souscription, jusqu’au 30 Septembre 2011, au prix de 19 € + 3 € de frais de ports, au lieu de 22 € + 3 € après cette date. Pour toute commande, merci de régler par chèque à l’ordre de : « les éditions de la forêt », sur papier libre en précisant la souscription au livre.

 

Les Editions de la Forêt

87 montée des grapilleurs

69380 Saint Jean des Vignes
France

Sparte, ne jamais demander grâce

Posted in Que lire ? with tags , , , on août 24, 2011 by TP Provence

Le droit de porter le nom de Spartiate s’acquiert à la naissance et se conquiert toute sa vie d’homme, depuis une enfance qui n’a rien de tendre. Agésilas a souvent payé le prix de cette leçon. Aussi, lorsque le roi Nabis entame des tractations politiques au lieu de soumettre ses voisins par la force, le jeune homme entre en résistance. En réponse, Nabis engage Diodore, ilote réputé être le meilleur chasseur de primes de la ville. Une fois de plus, revisitée par Weber et Simon, la légende de Sparte s’écrira en lettres de sang !

« Au Cœur du pouvoir » d’Emmanuel Ratier

Posted in Que lire ?, Sociétés secrètes with tags , , , on mars 17, 2011 by TP Provence

Au Cœur du pouvoir (plus de 700 pages, en petits caractères comme d’habitude) sort cette semaine. Il s’agit de l’unique enquête détaillée et précise sur le premier club d’influence en France, le club Le Siècle. Il comprend l’histoire intégrale de ce cercle, son système de fonctionnement et de cooptation, l’histoire de son fondateur, et surtout un dictionnaire biographique détaillé de tous ses membres depuis une quarantaine d’années, soit environ 2000 personnes.

Ces 2000 personnes sont celles qui ont dirigé la France et qui dirigent notre pays depuis 40 ans. Ils représentent la quintessence du pouvoir oligarchique français, concentrant entre leurs mains l’essentiel du pouvoir et sans doute près de 90% du PIB français. On y compte des personnalités aussi bien de droite que de gauche (chaque gouvernement comprend au moins la moitié de membres du Siècle, en général le Premier ministre et presque tous les présidents de la République). Ce sujet est au coeur de l’actualité avec la mise en cause aujourd’hui des supposées « élites », avec leurs multiples défaillances dans le déclenchement de la crise financière et économique actuelle et leur volonté scandaleuse de faire passer leurs intérêts financiers personnels avant ceux de la nation à laquelle ils appartiennent. Ils sont les parfaits représentants de cette « superclasse mondialisée », expression dont Jean-Yves Le Gallou semble être le créateur.

« Le Camp des saints », une réalité en 2050 ?

Posted in Que lire ? with tags , , , , on février 12, 2011 by TP Provence

Assortie d’une préface inédite, la seconde réédition du roman prophétique de Jean Raspail s’inscrit au coeur des débats récents sur l’identité et le devenir de la France.

 

Le 17 février 2001, un cargo vétuste s’échouait volontairement sur les rochers côtiers, non loin de Saint- Raphaël. À son bord, un millier d’immigrants kurdes, dont près de la moitié étaient des enfants. « Cette pointe rocheuse, écrit Jean Raspail au début de sa préface, faisait partie de mon paysage. Certes, ils n’étaient pas un million, ainsi que je les avais imaginés, à bord d’une armada hors d’âge, mais ils n’en avaient pas moins débarqué chez moi, en plein décor du Camp des saints, pour y jouer l’acte I. Le rapport radio de l’hélicoptère de la gendarmerie diffusé par l’AFP semble extrait, mot pour mot, des trois premiers paragraphes du livre. La presse souligna la coïncidence, laquelle apparut, à certains, et à moi, comme ne relevant pas du seul hasard. »

Dans le Critique en tant qu’artiste, Oscar Wilde avait soutenu et démontré, longtemps avant, que ce n’est pas la fiction qui imite la réalité, mais la réalité qui imite l’art. À preuve.

 

Depuis sa parution, en 1973, le Camp des saints n’a cessé de susciter la controverse et de conquérir de nouveaux lecteurs, de tous milieux, de toutes opinions, de tous âges, les un anonymes, les autres connus ou haut placés, de François Mitterrand à Raymond Barre, d’André Malraux à Maurice Schumann, de Robert Badinter à Jean Anouilh, de Jean-Pierre Chevènement à Lionel Jospin, d’Alfred Sauvy à Denis Olivennes et même de Samuel Huntington au président Ronald Reagan… Cette troisième édition élargira-t-elle encore son audience ? Tel est le souhait de l’auteur (lire notre entretien avec Jean Raspail), pour qui le livre n’a pas terminé sa mission : ouvrir les yeux des Français sur la désinformation qui gangrène la vie publique, désabuser les esprits crédules qui se sont laissé contaminer par un humanisme dévoyé. Et témoigner, bien sûr, pour la liberté de pensée et d’expression, qui, depuis trente-deux ans (loi Pleven), s’est singulièrement rétrécie.

 

À telle enseigne que ce roman, susceptible de poursuites judiciaires pour un minimum de 87 motifs, serait aujourd’hui impubliable en son état. Les lois n’étant pas encore rétroactives, Jean Raspail n’y a pas changé un iota. En revanche, il l’a fait précéder d’une longue préface (lire les extraits dans « Valeurs actuelles ») qui, loin de tempérer le propos du livre, “aggrave son cas” en développant les conséquences probables de la situation exposée dans le roman.

 

L’intrigue est simple. Sur les côtes du midi de la France viennent s’échouer délibérément des centaines de navires en provenance du sous-continent indien. À leur bord, un million de déshérités fuyant la misère de leur pays d’origine, en quête de la Terre promise occidentale, de ses richesses gaspillées, de ses espaces sous-peuplés et de sa tradition d’hospitalité… Cette invasion pacifique, forte de sa faiblesse et de son nombre, a été encouragée et préparée par une poignée d’agitateurs : religieux idéalistes, philosophes athées, écrivains catholiques renégats, médecins missionnaires, moins animés par un humanisme perverti que par la mauvaise conscience occidentale, ce « sanglot de l’homme blanc » dénoncé naguère par Pascal Bruckner, le désir de repentance et, sur tout, le ressentiment, le nihilisme honteux du « dernier homme » jadis explicité par Nietzsche. Deux scènes primordiales du livre illustrent cette confrontation entre les ultimes et rares mainteneurs des va leurs occidentales et la troupe plus nombreuse des renégats.

 

En Inde, le consul de Belgique, qui a refusé d’augmenter les procédures d’adoption et qui, fidèle à ses convictions, mourra pour l’exemple en s’opposant symboliquement à la prise d’assaut des navires par la marée humaine, déclare à la poignée de manipulateurs occidentaux qui a mis en oeuvre cette immigration sauvage : « La pitié ! La déplorable, l’exécrable pitié, la haïssable pitié ! Vous l’appelez : charité, solidarité, conscience universelle, mais lorsque je vous regarde, je ne distingue en chacun de vous que le mépris de vous-mêmes et de ce que vous représentez. […] En pariant sur la sensibilité, que vous avez dévoyée, des braves gens de chez nous, en leur inculquant je ne sais quel remords pour plier la charité chrétienne à vos étranges volontés, en accablant nos classes moyennes prospères de complexes dégradants […], vous avez créé de toutes pièces au coeur de notre monde blanc un problème racial qui le détruira, et c’est là votre but. »

 

La seconde scène oppose un vieux professeur de français à la retraite, habitant un village de la côte, dans une maison appartenant à sa famille depuis trois siècles, et un jeune pillard européen venu accueillir sa famille d’élection : « Me voilà avec un million de frères, de sœurs, de pères, de mères et de fiancées. Je ferai un enfant à la première qui s’offrira, un enfant sombre, après quoi je ne me reconnaîtrai plus dans personne… » Au professeur qui s’efforce de comprendre ses motivations, il réplique : « Je vous hais. Et c’est chez vous que je conduirai les plus misérables, demain. Ils ne savent rien de ce que vous êtes, de ce que vous représentez. Votre univers n’a aucune signification pour eux. Ils ne chercheront pas à comprendre. […] Chacun de vos objets perdra le sens que vous lui attachiez, le beau ne sera plus le beau, l’utile deviendra dérisoire et l’inutile, absurde. Plus rien n’aura de valeur profonde. Cela va être formidable ! Foutez le camp ! »

 

Le vieil homme rentre chez lui, en ressort avec un fusil et, avant de tirer sur l’intrus, justifie son acte : « Le monde qui est le mien ne vivra peut être pas au-delà de demain matin et j’ai l’intention de profiter intensément de ses derniers instants. […] Vous, vous n’êtes pas mon semblable. Vous êtes mon contraire. Je ne veux pas gâcher cette nuit essentielle en compagnie de mon contraire. Je vais donc vous tuer. » Un peu plus tard, le professeur rejoindra la dizaine de combattants qui auront choisi de renouveler Camerone et se feront tous enterrer sous les bombes d’une escadrille française, les plus hautes autorités du pays ayant capitulé devant l’invasion.

 

La véritable cible du livre : les “belles âmes” occidentales

 

Récit allégorique, « impétueux, furieux, tonique, presque joyeux dans sa détresse, mais sauvage, parfois brutal et révulsif » où il se tient des propos « consensuellement inadmissibles », de l’aveu de son auteur, le Camp des saints concentre en un jour un phénomène réparti sur des années. En aucune façon, cependant, il ne s’agit, comme de belles âmes l’ont clamé avec indignation, d’un livre raciste.

 

La véritable cible du roman, ce ne sont pas les hordes d’immigrants sauvages du tiers-monde, mais les élites, politiques, religieuses, médiatiques, intellectuelles, du pays qui, par lâcheté devant la faiblesse, trahissent leurs racines, leurs traditions et les valeurs de leur civilisation. En fourriers d’une apocalypse dont ils seront les premières victimes. Chantre des causes désespérées et des peuples en voie de disparition, comme son œuvre ultérieure en témoigne, Jean Raspail a, dans ce grand livre d’anticipation, incité non pas à la haine et à la discrimination, mais à la lucidité et au courage. Dans deux générations, on saura si la réalité avait imité la fiction.

Le Camp des saints, précédé de Big Other, de Jean Raspail, Robert Laffont, 392 pages, 22 €.

Bruno de Cessole, Valeurs actuelles, 10 février 2011.

 

Réédition du livre « Les Indo-Européens » de Jean Haudry

Posted in Indo-européens, Que lire ? with tags , on janvier 25, 2011 by TP Provence

La première édition (juin 2010) du livre de Jean Haudry étant épuisée, une seconde édition sera disponible dans quelques jours. Edition augmentée de 32 pages, l’auteur ayant ajouté au texte de l’édition de juin 2010 un « Aperçu d’un lexique de la tradition indo-européenne » tiré d’un gros ouvrage, en préparation, de celui qui est aujourd’hui le meilleur spécialiste français des études indo-européennes, reconnu comme tel sur le plan universitaire international.

Le livre de 224 pages est vendu au prix de 22 euros.

Les Editions de la Forêt 87 montée des Grappilleurs  69380 Saint-Jean-des-Vignes


Numéro exceptionnel de Nouvelle Ecole sur Oswald Spengler

Posted in Que lire ? with tags , , on janvier 12, 2011 by TP Provence

Au sommaire du numéro de Nouvelle Ecole N°59-60 (numéro double) :
• Oswald Spengler. Une introduction (Alain de Benoist)
• Oswald Spengler après « Le déclin de l’Occident » (Domenico Conte)
• Oswald Spengler et l’idée de « développement » (Domenico Conte)
• Perspectives d’histoire universelle dans l’œuvre de Spengler (Domenico Conte)
• Le double visage de la Russie et les problèmes de l’Allemagne à l’Est (Oswald Spengler)
• Oswald Spengler et le IIIe Reich (Alain de Benoist)
• Carl Schmitt, lecteur de Spengler (Emmanuel Mattiato)
• Oswald Spengler et l’Amérique latine (Michel Lhomme)

Et aussi…
• Le parcours espagnol et européen de Ramiro de Maeztu (Pedro Carlos González Cuevas)
• « Maeztu a élaboré une veritable théorie de l’hispanité » (Entretien avec Pedro Carlos González Cuevas)
• La valeur de l’hispanité (Ramiro de Maeztu)
• La sexologie (II) (Gérard Zwang)
• La danse de braise des Nestinari (Entretien avec Valeria Fol)

29.00 euros

Force et Honneur

Posted in Que lire ? with tags , , on octobre 20, 2010 by TP Provence

SOMMAIRE

1ère partie : des batailles…

Préface de Jean-Pierre Papadacci

1.     Les Thermopyles par Christian Segré – 480 avant J.C.

2.     Marathon par Romain Lecap – 490 avant J.C.

3.     Issos par Quentin Hélène – 331 avant J.C.

4.     Gergovie par Joseph Maie Joly – 52 avant J.C.

5.     Zama par André Lama – 202 avant J.C.

6.     Teutoburger Wald par Pascal Lassalle – 9 après J.C.

7.     Tolbiac par Hubert Kohler – 496 après J.C.

8.     Les champs catalauniques par Arnaud Derville – 541 après J.C.

9.     La bataille de Toulouse et la bataille de Poitiers par Gilbert Sincyr – 732 après J.C.

10.  Hastings par Erik Fuchs – 1066 après J.C.

11.  La prise de Jérusalem par Pierre Vial – 1099 après J.C.

12.  Las Navas de Tolosa par Jean Kapel– 16 juillet 1212

13.  La bataille de Bouvines par Jean-Christophe Hartmann − 1215

14.  Tannenberg par Arthur Lorc’h − 1242

15.  Azincourt ou la mort de la chevalerie française par Jean Denègre – 25 octobre 1415

16.  La prise d’Orléans par Thierry Bouzard – 1429

17.  Le siège de Vienne par Philippe Conrad – 1529

18.  La bataille de Lépante par Robert Steuckers – 7 octobre 1571

19.  La bataille de Torfou par Arthur de Lascaux − 1793

20.  Austerlitz, la bataille des trois empereurs par Louis Samagne − 1805

21.  Camerone par Alain Sanders – 30 avril 1863

22.  Mourir pour Verdun par Philippe Fraimbois – 1916

23.  Le siège de l’Alvazar de Tolède par Olivier Grimaldi – 1936

24.  Stalingrad par Pierre Gilieth – 2 février 1943

25.  Le débarquement du commando Kieffer par Jean André − 1944

26.  La bataille de Berlin par Chris Chatelet – avril 1945

27.  Dien Bien Phu par Éric Fornal – 7 mai 1954

28.  L’insurrection de Budapest par Lajos Marton – octobre 1956

29.  La bataille d’Alger par François-Xavier Sidos– janvier à mars 1957

30.  Le siège de Sarajevo par Pierre-Henri Bunel – 1992 

 

2ème partie : et des hommes de guerre

1.     Général Yves Dervilles

2.     Colonel Jean Luciani

3.     Capitaine Dominique Boneli

4.     Jean Laraque

5.     Alexis Arette

6.     Roger Holeindre

7.     Aimé Trocmé

 

« C’est la guerre qui a fait des hommes et des temps ce qu’ils sont…Et toujours, si longtemps que la roue de la vie danse en nous sa ronde puissante, cette guerre sera l’essieu autour duquel elle vrombit. »

Ernst Jünger, La guerre notre mère

 

« On ne se dérobe pas à la loi du combat, parce que c’est la loi de la vie. »

Pierre Drieu la Rochelle

 

« L’avenir appartient à qui recueille et sème l’éternelle fleur du passé. »

Charles MAURRAS.

 

« La vie d’une grande nation n’est qu’un combat. Elle a ses jours d’épreuve.

Mais comme l’a dit Montaigne : l’adversité est une fournaise à recuire l’âme. »

Maxime WEYGAND

Le calendrier mémoriel de nos pères était, autrefois, parsemé de noms de saints, de soldats héroïques et aussi de grandes batailles. Ces noms,  gravés dans l’histoire des peuples, étaient toujours évocateurs : Ils constituaient une mémoire collective et  forgeaient  les identités nationales. Chaque  nation vénérait ses saints, exaltait ses héros et communiait dans le souvenir  de  ses grandes batailles. Le souvenir de celles-ci, gagnées ou perdues, était perpétué par des cérémonies patriotiques, véritables liturgies, qui cimentaient les peuples en reliant les vivants et les morts.

Aujourd’hui,  ce culte de la mémoire, propre aux vieilles nations historiques, est contrôlé, contesté pour ne pas dire condamné car il dérange les tenants du nouvel ordre mondial. L’idéologie universaliste règne désormais en maîtresse, elle déforme, révise, détourne  le passé en attendant de le faire disparaître. C’est dans cet esprit que le bicentenaire de la victoire  d’Austerlitz a été  effacé, ignoré et  que  la commémoration du 90ième anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale  a été transformée en promotion de l’union européenne et de son prétendu «  avenir radieux ». On  n’évoque plus les guerres que pour les condamner ou pour jeter l’opprobre sur les combattants. On  réhabilite les mutins, on glorifie les déserteurs, les traîtres, les objecteurs de conscience et on les offre en modèle. Les combats futurs ne se dérouleront plus que dans les stades ou dans les temples de la Bourse et les héros ne seront plus que des sportifs ou des traders. On nous promet un univers de paix et de prospérité qui  implique l’oubli de notre identité et  l’abandon de  notre nationalité : le monde n’est plus qu’un marché soumis à la religion du Veau d’Or  et notre avenir est assuré à jamais à condition d’en devenir les consommateurs.

Beaucoup de ceux qui confondent rêves et réalités peuvent  se convertir aux utopies mondialistes  mais  nous, qui fûmes les enfants de Dien-Bien-Phu et de Budapest, nous refusons d’entrer dans ce marché de dupes. Nous savons que la vie  ne sera jamais un long fleuve tranquille.  Nous savons que nous sommes les héritiers de générations qui ont œuvré, souffert et parfois  sacrifié leur vie pour nous transmettre une patrie. Nous savons  que notre nationalité est un titre de propriété sur notre terre,  sur nos biens et  sur notre culture. Nous savons que  nous sommes des débiteurs et que nous avons le devoir de faire fructifier et de transmettre le patrimoine que nous avons reçu. Nous  savons qu’il  ne serait pas digne d’oublier les sacrifices de  nos anciens et encore moins de les stigmatiser ou de les renier. Enfin nous sommes convaincus que la nation reste la clef de voûte de l’ordre mondial. C’est pourquoi nous avons décidé de relater les grandes batailles qui ont marqué l’histoire des nations. Elles rappelleront à ceux qui l’oublient que la vie est avant tout un combat et que  notre premier  devoir est de rester fidèles à tous nos compatriotes qui, au cours des siècles, n’ont pas hésité  à donner leur vie pour assurer la pérennité de leur nation.

Jean-Pierre PAPADACCI.

Français d’Empire.

En kiosques : la Nouvelle Revue d’Histoire n° 49

Posted in Que lire ? with tags , , on juillet 19, 2010 by TP Provence

Michel Onfray suspecté d’antisémitisme

Posted in Que lire ? with tags , , , on avril 19, 2010 by TP Provence

Le philosophe Michel Onfray s’attaque à Freud dans son dernier ouvrage Le Crépuscule d’une idole : L’affabulation freudienne (sortie le 21 avril chez Grasset), s’attaque à Freud. Les accusations de collusion “avec l’extrême droite” et de complaisance envers des thèses antisémites pleuvent.

Extraits de la critique du livre parue dans Le Monde sous la plume d’Elisabeth Roudinesco :

“Fondateurs d’un monothéisme axé sur la pulsion de mort, les juifs seraient donc les premiers responsables de tous les malheurs de l’Occident. A cette entreprise mortifère, M. Onfray oppose une religion hédoniste, solaire et païenne, habitée par la pulsion de vie.” (…)

“Bien qu’il se réclame de la tradition freudo-marxiste, Michel Onfray se livre en réalité à une réhabilitation des thèses paganistes de l’extrême droite française. Telle est la surprise de ce livre. Ainsi fait-il l’éloge de La Scolastique freudienne (Fayard, 1972), ouvrage de Pierre Debray-Ritzen, pédiatre et membre de la Nouvelle Droite, qui n’a jamais cessé de fustiger le divorce, l’avortement et le judéo-christianisme. Mais il vante aussi les mérites d’un autre ouvrage, issu de la même tradition (Jacques Bénesteau, Mensonges freudiens. Histoire d’une désinformation séculaire, Mardaga, 2002), préfacé par un proche du Front national, soutenu par le Club de l’Horloge : “Bénesteau, écrit-il, critique l’usage que Freud fait de l’antisémitisme pour expliquer sa mise à l’écart par ses pairs, son absence de reconnaissance par l’université, la lenteur de son succès. En fait de démonstration, il explique qu’à Vienne à cette époque nombre de juifs occupent des postes importants dans la justice et la politique.” Au terme de son réquisitoire, M. Onfray en vient à souscrire à la thèse selon laquelle il n’existait pas de persécutions antisémites à Vienne puisque les juifs étaient nombreux à des postes importants.”