Archive pour immigration

Ainsi parlait Europe-Action n°37

Posted in Idées with tags , , , , , , on février 24, 2012 by TP Provence

« Mais nous ? Qu’avons-nous à conserver dans cette société ? Son idéologie ? Sa hiérarchie sociale ? Ses moeurs ? Ses idoles ? Nous voulons renverser tout cela. Alors ? il ne faut pas confondre ! Ce que nous avons à former ce n’est pas un parti conservateur mais un mouvement révolutionnaire ».
Dominique Venner, « Europe-Action », janvier 1966, n°37.

« La Commune, comme le vieux Sud, furent écrasés dans le sang. Mais les ouvriers de Paris et les paysans de Louisiane luttaient pour la même liberté. Ils se battaient pour leur droit à la vie, contre la réaction et le métissage, ces deux aspects d’une même menace cosmopolite ».
Jean Mabire, « Europe-Action », « Europe-Action », janvier 1966, n°37.

« La survie réelle, c’est-à-dire la continuité de notre substance biologique est la condition réelle de notre indépendance. Si l’Hexagone du XXe s. doit être un campement multi-racial, son indépendance ne nous fait ni chaud, ni froid. Même si un rectangle d’étoffe bleu-blanc-rouge y flotte le 14 juillet sur des grouillements colorés, un caravansérail n’est pas une patrie ».
Gilles Fournier, « Europe-Action », janvier 1966, n°37.

Suisse : expulsion d’un étranger délinquant

Posted in Immigration with tags , , , , , on février 24, 2012 by TP Provence

Exigeons plus de diversité !

Posted in Immigration with tags , , , , , on février 8, 2012 by TP Provence

Le rêve des mondialistes : métisser pour mieux unifier !

Posted in Immigration with tags , , , on février 2, 2012 by TP Provence

Immigration et natalité française

Posted in Immigration with tags , , , on janvier 29, 2012 by TP Provence

Le système capitaliste assassine les peuples

Posted in Immigration with tags , , on janvier 24, 2012 by TP Provence

Quand le Secours Catholique promeut le métissage

Posted in Immigration with tags , , on novembre 11, 2011 by TP Provence

Voici deux affiches de la campagne publicitaire que lance le Secours « Catholique »  pour récolter votre argent :

L’image d’un Marseille melting-pot, métissé et bon enfant mise à mal

Posted in Provence with tags , , , , on octobre 24, 2011 by TP Provence

Deux « guetteurs » protègent des dealers dansune cité des quartiers Nord.

Les vols à l’arraché se multiplient, le trafic de drogue gangrène les cités, les petits caïds font le coup de feu… Rarement a régné un tel climat d’insécurité. Au grand dam d’une population qui, faute de se sentir protégée, cherche parfois des boucs émissaires. 

Toutes les Marseillaises coquettes et suffisamment fortunées le regrettent: plus question d’arborer en ville les colliers en or qui font briller leurs décolletés. Ces bijoux doivent rester cachés au fond des tiroirs les plus secrets car, assurent-elles, les rues grouillent de « minots » prêts à arracher ces parures à la moindre occasion. Et si les voleurs à l’arraché ne sectionnent pas encore les doigts à coups de couteau pour s’emparer des bagues, c’est pour bientôt, pronostiquent même les plus pessimistes.

Galéjades mises à part, les inquiétudes des Marseillaises sont parfaitement fondées. « Avec la hausse du prix de l’or, ces vols de colliers deviennent particulièrement rentables », souligne un policier. Les petits caïds recrutent des gamins des cités pour accumuler les parures avant de les expédier, tout simplement, par la Poste, à l’une de ces entreprises de rachat d’or qui proposent, à grand renfort de publicité télévisée, d’échanger la matière précieuse contre du cash. Et c’est le facteur qui livre l’argent ainsi récolté; directement à domicile…

La combine a fait des émules. Et les équipes d' »arracheurs d’or » se multiplieraient. La crainte qu’ils inspirent participe du climat malsain régnant à Marseille, où chacun semble avoir une histoire d’agression à raconter. Il s’en produit en moyenne 26 par jour. Quant aux nouveaux venus, ils ne tardent pas à être mis au parfum, comme ce couple de passage sur la Canebière: « Faute de taxi, nous avions pris le risque de nous déplacer en ville avec nos bagages. Très vite, des policiers se sont approchés et nous ont dit qu’on ne devait pas se balader comme ça, que c’était dangereux… »

4 policiers et 2 adjoints pour 43 000 habitants

Marseille a peur et le fait savoir. Pour s’en convaincre, il suffit d’assister à une réunion des comités d’intérêt de quartier (CIQ). Ce soir-là, Patrick Mennucci, maire (PS) du 1er secteur, qui a fait de la question de l’insécurité son cheval de bataille, a rendez-vous avec une dizaine d’habitants dans un gymnase de la rue des Lices, au coeur du VIIe arrondissement de la ville. La discussion tourne autour de la collecte des ordures, de l’enquête publique sur le Vieux-Port et, bien sûr, de la violence. A la pause, Annie raconte les avanies de ses voisins, délestés dans la rue de tous leurs biens par des voyous les menaçant à l’aide d’un couteau à bois. Les malfrats avaient de la suite dans les idées. « A peine rentrés chez eux, mes voisins ont retrouvé leurs agresseurs occupés à piller leur appartement dont ils venaient de voler les clefs! » raconte-t-elle, encore sous le choc.

Dans son bureau dominant les bâtiments ultramodernes du complexe Euroméditerranée, Lisette Carducci, maire (PS) des IIe et IIIe arrondissements, fait ses comptes: « Je n’ai, en moyenne, que quatre policiers et deux adjoints de sécurité (ADS) pour veiller sur les 43 000 habitants du IIIe arrondissement », déplore-t-elle. Un quartier, par ailleurs, particulièrement pauvre puisqu’on y compte 5000 titulaires du RSA. « Les jeunes délinquants occupent le terrain et les habitants ont la sensation d’être abandonnés à leur sort. » D’autant qu’au fil des mois les petits voyous prennent de l’assurance. Les déboires de ce commerçant en primeurs du boulevard National, tout proche, en témoignent. « Au début, des jeunes sont venus lui voler des fruits et puis ils lui ont demandé de l’argent, et, comme il refusait de payer, ils ont crevé les quatre pneus de sa voiture. Pour finir, ils ont mis le feu à son magasin », raconte l’élue, révoltée.

Les promesses faites par Brice Hortefeux, puis par Claude Guéant, de renforcer les effectifs pourront-elles inverser la tendance? Alphonse Giovannini, représentant du syndicat Unité-Police, en doute. « On bouche les trous, mais il manque toujours 300 policiers », clame-t-il. « On ne compte que 15 enquêteurs pour combattre le trafic des stups dans le département des Bouches-du-Rhône », déplore le syndicaliste. Difficile, par conséquent, de lutter contre l’économie souterraine. Le trafic de shit serait présent, à Marseille, dans près de la moitié des cités. Il y fait vivre des familles entières; depuis les gamins déscolarisés transformés en guetteurs jusqu’aux retraités jouant les « nourrices » et qui cachent le cannabis dans leurs appartements.

Ce florissant commerce de la drogue engendre une violence que la ville a rarement connue dans son histoire, pourtant peu avare en coups de feu. Les règlements de comptes ont, en un an, coûté la vie à 15 personnes; des jeunes pour la plupart. La quête de l’argent facile, motive ce mode ultraviolent d’arbitrage des « différends ». Souvent, les gangs rivaux utilisent une arme de guerre pour « arroser », un peu au hasard, en direction de l’ennemi du moment, au risque de toucher des passants. « Les grands voyous alimentent encore les petits en drogue mais ils ont abandonné le contrôle de la rue aux caïds des cités« , note un enquêteur.

1500 Roms errent dans des campements sauvages

L’usage des armes – des vraies ou des copies parfaitement imitées – s’impose, pour qui veut faire sa place dans ce chaudron. Et même, plus largement, comme un véritable must dans les cités. « Maintenant, on prend des kalachnikovs pour braquer des épiceries », constate, inquiet, le procureur Jacques Dallest. Pistolet ou fusil d’assaut en main, les minots ne craignent plus rien ni personne. Quatre gamins de 14 et 15 ans de la cité des Cèdres viennent ainsi de se retrouver devant la cour d’assises après avoir dérobé la moto d’un de leurs voisins, et sa sacoche, avec des revolvers factices. Pas étonnant non plus que les vols à main armée aient explosé: 47,22% d’augmentation sur l’année…

« Penser que le renforcement de la police est la solution est une erreur », avertit pourtant le sociologue Laurent Mucchielli, qui vient d’installer, à Aix-en-Provence, un Observatoire régional de la violence. Pour lui, les difficultés de la ville proviennent, d’abord, de son appauvrissement. Dans certaines cités, le taux de chômage chez les jeunes dépasse les 50%

Cette dégradation des conditions d’existence peut conduire les Marseillais à chercher des boucs émissaires – le plus souvent les Roms – pour expliquer les maux dont la ville se sent accablée. « C’est actuellement un véritable danger », prévient Cendrine Labaume, responsable locale de la mission de Médecins du monde (MDM). Devant le dispensaire de la rue Rostand, dans le IIIe arrondissement, jeunes désargentés, immigrés en situation irrégulière, Comoriens et manouches font la queue patiemment. Ils attendent pour bénéficier de soins que les hôpitaux de la ville n’accordent qu’avec parcimonie à ceux qui ne présentent aucune couverture sociale. MDM en reçoit 6000 par an… Parmi eux, les Roms paraissent les plus fragiles.

Pourchassés par la police, les 1500 hommes, femmes et enfants recensés dans la ville errent entre des campements sauvages, comme celui de la porte d’Aix, et des bidonvilles. « Il n’est pas rare que des habitants nous insultent et nous prennent à partie quand nous les soignons sur le terrain », constate Cendrine Labaume. La responsable de MDM a comptabilisé récemment une dizaine d’agressions violentes contre des familles roms à coups de cocktails Molotov et de barres de fer. Des opérations commandos souvent menées par des Maghrébins…

L’image d’un Marseille melting-pot, métissé et bon enfant est bien mise à mal. Même l’OM ne fait plus rêver, propulsée en queue de championnat. Gagnerait-elle, d’ailleurs, que l’équipe ne sauverait pas, à elle seule, la ville de ses démons. A Palerme aussi, on aime le ballon rond…

Source : L’Express.

A Dijon : « On casse cblan (blanc) ! »

Posted in Actualité with tags , , , , , on septembre 2, 2011 by TP Provence

Le père : « Ils n’ont eu de cesse de tabasser mon fils. »

Le père d’une jeune victime d’une agression « anti-blanc » tient des propos consternants. Vous avez dit ethnomasochisme ?

Un adolescent a été roué de coups dans le centre-ville de Dijon. Son père témoigne de la violence et de la gratuité de l’agression qui a fait voler en éclats la jeunesse de son fils.

Choqué, bouleversé, ulcéré, triste… Tels sont les mots à mettre sur les maux de ce père de famille dont le fils de 15 ans a été sauvagement agressé le 19 août, rue Berbisey, à Dijon.

« Venez vite, il est aux urgences ! » Cette phrase continue de hanter les nuits des deux parents de la victime. L’agression s’est déroulée, place Jean-Macey, à proximité de la rue Berbisey, le 19 août, à 1 h 30. Le jeune homme, de type européen, que nous appellerons Paulo, marchait en compagnie de deux copains, l’un d’origine maghrébine et l’autre d’origine africaine. Ces précisions sont à prendre en compte dans le déroulé de cette affaire.

Passé à tabac

Tout à coup, un individu interpelle Paulo et lui demande si c’est lui qui vient de « rayer sa voiture », il lui porte simultanément un coup violent qui fait chuter le jeune homme. S’en suit une pluie de coups de pieds à la tête et dans le dos. Atterrés, les deux amis de la victime tentent de s’interposer, mais en vain. L’agresseur est plus âgé, plus fort et sans doute mieux « entraîné ». Le jeune homme parvient à se relever et à se sauver avec ses copains en direction de la rue du Bourg, mais ils sont suivis par le voyou qui a, entre-temps, appelé du renfort. Arrivé place François-Rude, le jeune Dijonnais est rattrapé et passé de nouveau à tabac. Cette fois, l’homme n’est plus seul. Son frère et tout un groupe d’individus majeurs lui prêtent main-forte (plus d’une vingtaine, selon la victime). L’adolescent reçoit plusieurs coups de pied. Dont, un, dans l’œil. Il entend également la phrase suivante : « On casse du cblan (blanc) ! » Ses amis n’ont, effectivement, pas été pris à partie par la bande.

Le père de la victime, chef d’entreprise, est effondré : « Cette violence m’insupporte. Je m’emploie à éduquer mes enfants dans le sens des valeurs. Les mots racistes sont interdits à la maison. Chez nous, black, blanc, beur, peu importe, c’est la personne qui a de l’importance et je suis pour l’ouverture aux autres cultures. Les deux amis de mon fils en sont la preuve. »

Et ce père de famille de s’interroger : « Avec la multiplication de telles agressions gratuites, comment ne pas craindre la montée de l’extrême-droite ? Comment vont faire les victimes et leurs familles, pour résister aux sirènes du Front national ? »

Il s’indigne : « Ces s…, ces lâches, viennent ternir l’image de la communauté maghrébine qui ne le mérite pas. Mais pourquoi n’intervient-elle pas ? Pourquoi ne fait-elle pas le nécessaire pour faire régner l’ordre ? »

Les urgences ont délivré une interruption temporaire de travail de cinq jours au jeune homme dont le visage et l’œil tuméfiés font froid dans le dos. Une plainte a été déposée.

« Le policier qui nous a reçus a été très bien. Il a fait son travail et il nous a écoutés. Mais je n’ai pas pu m’empêcher de ressentir, en filigrane, une forme d’impuissance. Comme si ces bandes, ces hordes n’étaient plus maîtrisables.»

Depuis l’agression, Paulo, très angoissé, ne dort plus.

Source : Le Bien public.

Conférence au Casal Europa, samedi 27 août

Posted in Terre & Peuple with tags , , , , , , on août 27, 2011 by TP Provence