Archive pour islam

Saint-Valentin islamique

Posted in Humour, Immigration with tags , , , , on février 15, 2012 by TP Provence

Le rapprochement Le Pen-Djellil se confirme

Posted in Actualité, Immigration with tags , , , , , , , on octobre 24, 2011 by TP Provence

 Omar Djellil

De passage à Marseille pour une séance plénière du conseil régional, Jean-Marie Le Pen a renforcé ses liens avec Omar Djellil, un homme très impliqué dans la communauté musulmane et désormais proche du FN. L’occasion de faire le point sur cette collaboration révélée il y a quelques mois et sur divers sujets de l’actualité marseillaise.

– Omar Djellil, proche de la mosquée de la Porte d’Aix, collabore avec le FN à travers son association « Alliance République Éthique ». Beaucoup s’étonnent de ce rapprochement…

Jean-Marie Le Pen  : Pourquoi ? Dans tout le pays, il y a un courant de Français venus d’Algérie ou issus de l’immigration, désireux de s’intégrer en respectant les lois de la République. Ils trouvent en nous un accueil favorable. Moi, je suis pour les conversations et les échanges. Musulmans et FN, ce n’est pas incompatible. En 1957, j’ai présenté un candidat arabe à la députation. Et en 1986, j’ai aidé à faire élire une conseillère régionale musulmane, en Ile-de-France.

– Pourtant vous êtes contre la grande mosquée de Marseille…

J.M.L. : C’est parce que derrière il y a des substrats politiques. Il y a une influence de pays comme l’Arabie Saoudite ou le Qatar qui ne me plaît pas. La finalité religieuse est ambiguë. Je ne suis pas contre une grande mosquée mais il ne doit y avoir aucune contribution des pouvoirs politiques. À Marseille, la Ville a fait un cadeau en cédant un terrain à un prix dérisoire (NDLR : loyer annuel de 25 000€ versé à la Ville par l’association « Mosquée de Marseille »). Un projet de mosquée doit être entièrement privé. Le terrain aurait dû être acheté. Je suis pour l’annulation du permis de construire.

– Vous parlez du Qatar avec méfiance. Pourtant à Paris, les Qataris font rêver tous ceux qui aiment le foot…

J.M.L. : Ce n’est pas une raison pour apprécier le Qatar. Si demain c’est la mafia qui met de l’argent dans le PSG, vous applaudirez, vous ?

– Marseille a pris un arrêté antimendicité. Qu’est-ce que cela vous inspire ?

J.M.L. : C’est dérisoire. L’arrêté ne résoudra pas le problème de la mendicité, ni les questions d’insécurité. Le chômage augmente, la population s’appauvrit. Il y a un vrai problème économique. On ne réglera rien avec des amendes.

– La préfecture a mis les gros moyens pour lutter contre la délinquance au centre-ville. Mais ailleurs, la population se plaint d’être oubliée. N’y a-t-il pas un déséquilibre en matière de sécurité ?
J.M.L. :
Avec la réduction des effectifs de police, il ne faut pas s’attendre à ce que les pouvoirs publics agissent sur tout le territoire. On n’a pas tenu compte de l’acuité des problèmes qui sont la conséquence de l’immigration. On doit protéger les frontières. Le rôle de la police est dérisoire. Cela ne suffira pas à lutter contre la délinquance.

Propos recueillis par Jean-Jacques FIORITO

Source : La Provence.

Une marche pour l’instauration de la charia à Londres

Posted in Islamisation with tags , , , , , , , , , on mars 28, 2011 by TP Provence

Londres, le 25 mars 2011, défilé pour l’instauration de la charia :

La carte des mosquées en France

Posted in Islamisation with tags , , , , , on février 24, 2011 by TP Provence

2011: carte des mosquées. lieux de prière, associations cultuelles et culturelles islamiques en France :

Recrudescence de l’immigration régulière en 2010 : Polémia fait le point

Posted in Immigration with tags , , , on janvier 18, 2011 by TP Provence

Pour la première fois dans l’histoire le gouvernement français a délivré en 2010 plus de 200 000 nouveaux titres de séjour (long ou moyen) pour les pays tiers (hors Union européenne et Espace économique européen). Sur les onze premiers mois de l’année 2009, on totalise ainsi 182 400 admissions soit une progression de 11,5% par rapport à la même période de 2009 (157 000 admissions).

Explications.

La hausse concerne tous les motifs d’immigration. Tous les chiffres cités ci-dessous concernent seulement les onze premiers mois des années 2009 et 2010.

L’immigration de travail progresse

Malgré un chômage en hausse, l’immigration professionnelle progresse de près de 10%, passant de 22 000 à 23 600. Il est vrai qu’une partie de ces « admissions » sont en fait des régularisations.

L’immigration d’étudiants progresse fortement

58 700 étrangers nouveaux ont obtenu en 2010 une carte de séjour étudiant soit 41% de plus qu’en 2009. L’argument évoqué du rayonnement de la France est dénué de sens : en effet, en dehors de l’accès à quelques grandes écoles, nos universités « lowcost » n’attirent pas les meilleurs étudiants du monde qui préfèrent aller étudier dans les pays anglo-saxons (en payant leurs études). L’absence de sélection, y compris dans la simple maitrise du français, encombre nos universités et grève les budgets publics sans autre bénéfice que la satisfaction des lobbies universitaires. Enfin les cartes d’étudiants –non assorties de contrôle d’assiduité– sont une des filières détournées de l’immigration de travail.

L’immigration familiale, c’est à dire principalement « nuptiale » progresse à nouveau de 10%

Il y a eu 76 000 entrées au titre de l’immigration familiale en 2010 à comparer à 70 150 en 2009. La partie principale de cette immigration correspond à hauteur de 48 500 personnes à ce qu’on appelle les « familles de Français ». En réalité, il s’agit d’une immigration « nuptiale » selon le mécanisme suivant : beaucoup de bi-nationaux –franco-magrébins, franco-africains, franco-turcs- vont chercher le promis ou plutôt la promise dans le pays d’origine de leur famille. Ce mouvement concerne d’abord des jeunes hommes qui vont chercher des femmes au « bled » mais aussi les jeunes filles dont les mariages sont « arrangés ». Dans un deuxième temps, les parents, les frères et sœurs et les neveux des nouveaux mariés obtiennent un motif pour venir en France. Ce transfert de population est en progression constante depuis 15 ans.

La question des réfugiés

L’un des rares chiffres en baisse est celui des titres accordés à des réfugiés : 9 200 en 2010 à comparer à 10 300 en 2009. Ce résultat est toutefois à mettre en parallèle avec celui de 40 000 à 50 000 demandeurs annuels du statut de réfugié politique. Le solde de 30 000 à 40 000 personnes est constitué des « déboutés du droit d’asile » qui sont très rarement expulsés et qui s’installent le plus souvent bien tranquillement dans la clandestinité.

« Immigration choisie » + « immigration subie » = immigration de masse

Dans beaucoup de cas, l’administration a peu de pouvoirs réels : elle est entravée dans un tissu de conventions internationales et de jurisprudences immigrationnistes que les gouvernements successifs ont laissé s’installer au cours des 40 dernières années. Le rééquilibrage entre « immigration subie » et immigration choisie » est donc un leurre. Sans réelle volonté politique, il n’y a guère de marge de manœuvre à part… augmenter l’immigration professionnelle et l’immigration d’étudiants, ce qu’a fait le gouvernement. Mais cette immigration soi-disant « choisie » ouvre à son tour droit à l’« immigration subie » de demain.

Pour stopper l’immigration de peuplement il n’y a pas d’autre solution que de recouvrer la pleine souveraineté française en dénonçant les conventions internationales qui y portent atteinte et en redonnant au peuple le pouvoir aujourd’hui accaparé par les juges.

Source : Polémia.

A quand une repentance pour les « captifs en Barbarie » ?

Posted in Histoire with tags , , on janvier 11, 2011 by TP Provence

Des centaines de livres sont consacrés chaque année aux Africains vendus (généralement par leurs compatriotes) aux négriers fournissant les colonies d’outre-Atlantique. Un calvaire également détaillé dans de multiples films et émissions de télévision et solennellement évoqué chaque 10 mai par la « Journée commémorative des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leur abolition » instituée (sans crainte de la redondance !) par Jacques Chirac en 2005 avant que Nicolas Sarkozy n’y aille de sa larme le 8 janvier dernier lors de son hommage antillais à Aimé Césaire. Mais qui rappelle le martyre des esclaves blancs, plus d’un million selon l’historien anglais Giles Milton ?

Dans son roman policier Le Phare, paru en 2008 à LGF/Livre de Poche et qu’elle situe à Combe Island, au large de la Cornouailles, l’Anglaise P. D. James signale à plusieurs reprises la terreur exercée par les pirates maghrébins, surtout ceux de Rabat-Salé, sur les côtes sud de l’Angleterre où ils s’étaient emparés de plusieurs îles, transformées en bastions. Le sort tragique et « l’histoire extraordinaire des esclaves européens en terre d’islam », c’est justement ce qu’a étudié l’historien Giles Milton, anglais lui aussi, dans Captifs en Barbarie.

Plus d’un million d’esclaves blancs

On sait quelle ampleur avait prise la piraterie barbaresque en Méditerranée et le péril qu’elle faisait courir aux populations riveraines, au point que la prise de la Régence d’Alger par la France, en 1830, fut approuvée et accueillie avec soulagement par toute l’Europe. Même si une cousine de la future impératrice Joséphine, la Créole Aimée Dubuc de Rivery, qui avait pris place sur un bateau pour la Métropole, vit le navire arraisonné et ses passagers vendus en esclavage, elle-même étant destinée au harem du sultan de Stamboul, on sait moins que cette piraterie fut presque aussi active dans l’Atlantique. A partir des côtes marocaines furent ainsi razziés aux XVIIe et XVIIe siècle non seulement des Britanniques mais aussi des Scandinaves, des Islandais, des colons du Groenland et même des Américains.

Après de longs recoupements, Giles Milton estime à plus de un million le nombre des esclaves occidentaux dont une infirme minorité put recouvrer la liberté, grâce au versement d’une rançon ou par évasion — cas du Cornouaillais Thomas Pellow, enlevé en 1715 à l’âge de onze ans, enfin libre vint ans plus tard et dont l’autobiographie publiée en 1740, après son miraculeux retour en Angleterre, sert à l’auteur de fil conducteur.

A l’époque comme aujourd’hui en Afghanistan et surtout en Afrique (qu’on pense à la Somalie, au Mali où croupissent plusieurs Français), la prise d’otages occidentaux était pratiquée à grande échelle pour obtenir d’abord d’extravagantes rançons, surtout quand ces otages étaient de hauts personnages, mais aussi pour obtenir aussi des appuis politiques et des retournements d’alliances. Ainsi le Maroc multiplia-t-il au début du XVIIe siècle les razzias d’Anglais dans le dessein d’obliger le roi Jacques 1er Stuart à attaquer l’Espagne.

Une main-d’œuvre à bon marché

Mais la cause principale était évidemment de se procurer au moindre coût une énorme main-d’œuvre. Celle-ci étant par exemple nécessaire à la réalisation des projets pharaoniques du sultan alaouite Moulay Ismaïl qui régna de 1672 à 1727 et dont l’obsession était de surpasser Louis XIV, qu’il sommait d’ailleurs de se convertir à l’islam… Ce qui n’empêchait d’ailleurs pas ce fervent musulman de se saouler rituellement à mort pour fêter la fin du ramadan ! Pour que son ensemble palatial de Meknès, avec notamment le Dar el-Mansour, « haut de plus de cinquante mètres », fût infiniment plus vaste et plus imposant que Versailles, le monarque avait donc besoin d’une masse d’ouvriers mais aussi d’artisans, de contremaîtres et d’architectes que seuls pouvaient lui procurer les pirates écumant les côtes européennes. Selon l’historien arabe Ahmad al-Zayyani cité par Milton, il y eut simultanément à Meknès jusqu’à 25 000 esclaves européens, soit une population « à peu près égale à celle d’Alger ».

Certes, il y avait un moyen pour les captifs d’adoucir leur servitude : embrasser l’islam, comme l’avait fait le renégat hollandais Jan Janszoon, devenus l’un des plus redoutables et des plus riches chefs pirates sous le nom de Mourad Raïs. Mais la foi étant encore si grande et si profonde à l’époque, bien peu s’y résolurent, préférant l’enfer sur terre à l’Enfer au Ciel.

Car c’est bien la géhenne que ces malheureux subissaient sous la férule d’une sanguinaire Garde noire, qui terrorisait autant qu’elle surveillait. Ces Noirs, « d’une hauteur prodigieuse, d’un regard épouvantable et d’une voix aussi terrible que l’aboiement de Cerbère » selon l’ancien esclave français Germain Moüette, n’hésitaient pas à recourir aux châtiments les plus extrêmes, voire à la peine capitale, à l’encontre des prisonniers rétifs, ou simplement trop malades et donc incapable de fournir le labeur exigé d’eux malgré les rations de vin et d’eau-de-vie procurées par les juifs, courtiers habituels entre les pirates et Moulay Ismaïl.

Non content de procéder aux pires profanations — après la prise de la place-forte espagnole de la Memora en 1688, le souverain alaouite se fit apporter les statues de la Vierge et des saints afin qu’il puisse « cracher sur elles » avant de les faire briser— Moulay Ismaïl prenait grand plaisir au spectacle de la torture. Selon le récit de Harrison, ambassadeur anglais venu négocier le rachat de ses compatriotes et surtout des femmes, le sultan, qui se déplaçait volontiers sur un « char doré, tiré non par des chevaux mais par un attelage d’épouses et d’eunuques », pour la plupart européens, « faisait battre les hommes presque à mort en sa présence, certains sous la plante des pieds et il les forçait ensuite à courir sur des cailloux et des épines. Certains des esclaves avaient été traînés par des chevaux jusqu’à être mis en pièces. D’autres avaient même été démembrés alors qu’ils étaient encore vivants, leurs doigts et orteils coupés aux articulations ; bras et jambes, tête, etc. »

L’un des chapitres les plus sombres de l’histoire de l’humanité

Un traitement sadique que ne subirent jamais les victimes de la traite triangulaire. « Etre esclave en Géorgie, voilà le vœu d’un ouvrier lyonnais », devait d’ailleurs écrire l’humoriste français Alphonse Karr à la veille de la guerre de Sécession. Certes, tous les « captifs en Barbarie », et notamment au Maroc, pays dont on nous dit être de haute civilisation et profondément humaniste, ne furent pas traités de manière aussi inhumaine. Comme dans d’autres camps, plus récents, beaucoup succombèrent non sous les coups ou la question, mais du fait d’épidémies décimant des organismes affaiblis par la faim, le froid des nuits d’hiver et surtout une promiscuité immonde, les esclaves regroupés dans des cellules surpeuplées vivant dans leurs immondices.

Nul ne saurait bien sûr, et surtout pas notre Nomenklatura politique (Nicolas et Carla Sarkozy, Jacques et Bernadette Chirac, Dominique et Anne Strauss-Kahn, Béatrice et Jean-Louis Borloo, Patrick et Isabelle Balkany, Ségolène Royal, Jean-Paul Huchon et quelques autres) qui vient de passer Noël au Maroc, exiger une repentance en bonne et due forme de la part de « notre ami le roi » Mohamed VI, actuel descendant de l’Alaouite Moulay Ismaïl. Mais l’Ecole de la République, si prolixe sur le sort des esclaves noirs, ne pourrait-elle du moins renseigner nos chères têtes blondes, et autres, sur ce que fut de l’autre côté de la Méditerranée le sort des esclaves blancs ? Cette ordalie subie par plus d’un million d’Européens constitue, Giles Milton est formel sur ce point, « l’un des chapitres les plus sombres de l’histoire de l’humanité ». Pourquoi en est-elle aussi le chapitre le plus systématiquement occulté ?

Claude Lorne

Giles  Milton, Captifs en Barbarie / L’histoire extraordinaire des esclaves européens en terre d’Islam, traduction de l’anglais de Florence Bertrand, Payot coll. Petite Bibliothèque, 2008, 343 pages, 9,50€

Source : Polémia.

L’islam dans les rues de Paris

Posted in Islamisation with tags , , , , , , on décembre 13, 2010 by TP Provence

PS et UMP contre l’expulsion des étrangers criminels

Posted in Immigration with tags , , , , , , , on décembre 2, 2010 by TP Provence

Extrait de l’émission “C à dire” du 1er décembre 2010. Étienne Pinte, député UMP des Yvelines, condamne le vote suisse et rappelle que le PS et l’UMP ont voté à l’unanimité la suppression de la “double peine.


Regroupement familial

Posted in Immigration with tags , , , on novembre 7, 2010 by TP Provence

Nique la France : le livre contre les Français de souche

Posted in Immigration with tags , , , , , on novembre 6, 2010 by TP Provence

Le livre d’un des meneurs des Indigènes de la République, Saïd Bouamama, intitulé Nique la France vient de paraître aux éditions ZEP et se trouve désormais en vente dans toutes nos bonnes librairies. En couverture du livre : Houria Bouteldja, franco-algérienne, née en 1974 passionaria des Indigènes de la République et qui fut un temps salariés de l’Institut du Monde arabe à Paris (financé par la France).

Saïd Bouamama, né en 1958, est sociologue, docteur en socio-économie. Militant immigrationniste engagé depuis de nombreuses années dans les « luttes pour l’égalité réelle des droits en France », il est directeur de recherche à l’IFAR située à Villeneuve-d’Ascq (59). Ce chercheur, qui vit avec les impôts des « Souchiens », participe donc à la propagande antifrançaise de cette formation de gauche extrême qui a pris pour nom le PIR, le Parti des Indigènes de la République.

Imaginez un seul instant, un Français faisant paraître en Algérie un livre intitulé Nique l’Algérie ! Mieux : ce même Français faisant paraître en France le même livre, titré Nique l’Algérie se verrait traîner devant les tribunaux, lynché médiatiquement, mis au pilori et lourdement condamné ; les statistiques d’émeutes et de véhicules incendiés seraient revues à la hausse.

Et personne ne dit rien !

Source : NP Info.